Archives de catégorie : Histoires Inspirantes & Pensées Positives

La pression qui nous pousse à grandir

Il y a des jours où tout semble nous tirer dans tous les sens.

Une conversation qui dérape, un événement qui bouscule, une nouvelle qui nous prend de court…

On sent la pression monter.

Pas seulement celle du travail, mais celle de la vie elle-même.

La plupart des gens fuient cette pression.

Ils cherchent à l’anesthésier : un écran, une distraction, une habitude qui occupe l’esprit.

Et c’est vrai… sur le moment, ça soulage.

Mais cette pression revient toujours.

Parce qu’elle ne vient pas de l’extérieur.

Elle vient de ce que nous portons à l’intérieur.

Et pourtant, il existe une autre façon de voir les choses.

Certaines pressions sont comme des mains invisibles qui nous saisissent par les épaules et nous secouent pour dire :

« Réveille-toi. Regarde ta vie. Tu peux faire mieux que ça. »

C’est une pression utile.

Elle ne cherche pas à nous écraser, mais à nous redresser.

Elle nous met face à nos limites pour que nous les dépassions.

Un ami qui nous dit une vérité que nous n’avions pas envie d’entendre.

Un défi qui nous effraie, mais que nous savons devoir relever.

Une situation qui nous oblige à réinventer notre façon d’agir ou de vivre.

Pensez à un arc.

Plus la corde est tendue, plus la flèche part loin.

Sans tension, pas d’élan.

Sans élévation, pas de trajectoire.

La pression dans notre vie agit de la même façon :

elle nous prépare, nous aligne et nous propulse… si nous acceptons de rester dans l’arc le temps nécessaire.

Le secret est simple :

Pression + Réponse = Changement

Pression + Réponse UTILE = Croissance

Pression + Réponse qui CHANGE DES VIES = Impact

Nous pouvons passer notre existence à esquiver ces moments inconfortables…

ou les accueillir comme les leviers les plus puissants que la vie nous offre.

Ce n’est pas agréable.

Mais c’est dans ces instants que nous forgeons la personne que nous sommes appelés à devenir.

Alors, la prochaine fois que nous sentirons cette pression, au lieu de la fuir, souvenons-nous :

elle est peut-être en train de nous donner exactement ce dont nous avons besoin pour passer à l’étape suivante.

J.Philippe Berten

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Comment manipuler son boss sans qu’il s’en rende compte #1

Quand le développement personnel et le travail en entreprise prennent des chemins opposés…

Vous le vivez peut-être : vous commencez à lire des bouquins sur le développement personnel, la gestion du stress, l’intelligence émotionnelle… Bref, vous êtes en train de devenir une meilleure version de vous-même.

Mais voilà : votre travail, lui, est resté bloqué dans une autre époque. Une époque où « être stressé » est un signe de sérieux, où « travailler tard » est une preuve d’engagement, et où « prendre du temps pour soi » est réservé aux fainéants.

Résultat : vous avancez sur votre chemin personnel, mais dès que vous passez la porte du bureau, vous avez l’impression de faire un bond en arrière. C’est comme vouloir devenir végétarien dans une entreprise spécialisée dans le barbecue.

Heureusement, il y a des moyens subtils pour introduire votre développement personnel en Entreprise… sans que personne ne se rende compte que vous êtes en train de pirater l’entreprise de l’intérieur.

Voici comment je m’y suis pris pour réduire les temps de réunions hebdomadaires de mon Boss…sans qu’il s’en rende compte.

« Tu vis sur quelle planète, toi ? »

Tout a commencé avec cette phrase… Je vous assure, cette phrase est tombée net, comme un jugement sans appel. Mon Directeur de site me regardait, les sourcils froncés, visiblement partagé entre l’incrédulité et un soupçon de mépris.

Je venais de suggérer un truc totalement à l’opposé de sa façon de travailler : réduire nos temps de réunion inutiles et, soyons fous, nous donner le droit d’agir sans devoir planifier des tonnes de process…

— « Sur une planète où on bosse mieux et où on évite de courir comme des lapins à la dernière minute, » ai-je failli répondre.

Je respire …. À la place, j’ai opté pour une version plus diplomatique :

— « Disons que j’essaie une approche plus « efficace » du travail. » Le sens du mot à toute son importance

— « Mouais… » Il a haussé un sourcil sceptique comme il sait si bien le faire. (On dirait Teal’c dans la série Stargate.) « Mais ici, on doit être réactifs ! »

Et voilà, ça continue… L’éternel malentendu. Passer deux heures en réunion avec mon boss pour savoir quoi faire des colis que personne ne veut mais que les clients ont payés, c’est ça, être réactif… ?

Je vous explique. Dans la tête de mon chef (et de pas mal de mes collègues, d’ailleurs), « travailler mieux » signifie travailler au dernier moment, quitte à tout faire dans l’urgence. Pour moi, qui étudie le développement personnel depuis des années, ça signifie prendre du recul, éviter les interruptions inutiles et agir intelligemment et du « faites-le-maintenant ! »

Bref, deux visions du monde qui s’affrontent.

J’ai pris une inspiration (sans fermer les yeux, sinon j’allais vraiment avoir l’air perché) et j’ai décidé de jouer un rôle : celui d’un coach, pas d’un rebelle, vous voyez.

— « Justement. Est-ce que tu veux qu’on soit réactifs… ou « efficaces » ? » Ce mot est parfait..

Gros Silence… Je venais de planter la graine.

— « À plus tard, Jean-Philippe… »

Mouais. Drôle d’échange quand même… Heureusement que mes pensées ne parlent pas.

Le lendemain matin…

Tous les matins, je fais une petite rétrospective. Je note mes objectifs du jour et je planifie mon travail en blocs de temps. J’arrive au bureau tranquille, organisé… et totalement en décalage avec le reste du monde.

À côté de moi, mes collègues vivent une toute autre réalité :

07h58 : Débarquement au bureau, deux cafés en main, déjà stressés par la tonne de mails non lus et les cartons à ranger.

08h15 : Petite réunion « du matin » où tout le monde prend des notes… mais où rien ne sera réellement appliqué.

11h00 : Explosion des urgences, tout le monde court dans tous les sens.

14h30 : Huitième café de la journée. Réunion avec le boss, trois discussions en parallèle. Aucun travail vraiment avancé.

18h00 : « Je suis débordé et j’ai pas avancé ! » → Mais 75 % du temps a été perdu dans des interruptions inutiles.

Et moi, au milieu, qui tente (en vain) d’appliquer mes méthodes de développement personnel au travail.

Enfin bref… Ce matin-là, j’avais décidé de ne pas consulter mes emails avant 10h, histoire de travailler sur mes priorités avant d’être noyé sous les demandes.

Résultat ?

À 08h45, Cédric débarque, paniqué.

— « T’as vu mon mail ? »

— « Je regarde mes mails plus tard pour avancer sur… »

— « Ok mais je t’ai mis en copie, c’est urgent. »

— « C’est quoi ? »

— « Un rappel pour la réunion de cet après-midi. »

J’ai failli pleurer… Ils se sont passé le mot…

Le problème ? Beaucoup de gens confondent urgence et importance.

Tout semble urgent, parce qu’on fonctionne dans un mode où l’instantanéité est devenue la norme. Mais si on prend deux minutes pour analyser la situation, on se rend compte que la plupart des urgences sont auto-créées.

Observez bien cela au travail.

Pourquoi sommes-nous si mauvais dans la gestion du temps en entreprise en France ?

J’ai fini par comprendre d’où venait le problème en étudiant la gestion du temps : nous avons développé une culture du travail qui nous piège dans une illusion d’efficacité.

D’un côté, nous subissons une avalanche d’interruptions. Emails, réunions qui s’éternisent, sollicitations de dernière minute… Résultat : impossible de se concentrer sur une tâche plus de quelques minutes sans être interrompu. Or, il faut en moyenne 23 minutes pour retrouver pleinement sa concentration après une coupure d’après des études en Neurosciences. Imaginez le carnage quand vous êtes interrompu dix fois par jour. On jongle entre mille tâches, mais au final, on n’avance sur rien en profondeur.

De l’autre, on est tombés dans l’excès inverse : la surplanification. On ne fait plus, on organise. Réunions à rallonge, tableaux Excel bourrés de plans d’action, comités de validation pour la moindre décision… On réfléchit, on discute, mais on agit trop peu. Cette obsession du cadrage nous donne l’illusion d’être productifs, alors qu’en réalité, elle ralentit tout. Au lieu d’aller droit au but, on s’alourdit avec des process qui nous font perdre un temps fou.

Au final, entre les interruptions permanentes, la surplanification et cette obsession de la présence au travail, on se retrouve à courir toute la journée sans avoir fait vraiment quelque chose de sa journée.

Manipuler mon boss sans qu’il s’en rende compte…

J’ai vite compris une chose dans ma vie professionnelle : personne n’aime qu’on lui dise qu’il fait mal les choses. Surtout pas la hiérarchie.

Règle N°1 : Si vous dites à votre patron qu’il a tort, vous êtes mort.

Alors, plutôt que de débarquer en mode « Je vais révolutionner votre vie », j’ai juste posé une question… à laquelle j’avais déjà la réponse.


Ce matin-là, mon directeur débarque, l’air fatigué. Plus que d’habitude.

— « J’ai l’impression que mes journées sont une course sans fin. »

Allez, c’est le moment, Jean-Phi !

— « Tu veux une astuce pour récupérer deux heures par jour ? »

Il me regarde, intrigué.

— « Vas-y, je t’écoute. »

— « Fais la liste de ce qui te prend du temps et demande-toi : qu’est-ce qui est vraiment indispensable ? » (Merci le programme de Gestion du Temps.)

Il me fixe, sur la défensive.

— « Tu crois que j’ai le temps de faire ça ? »

Classique.

— « OK. Alors, dis-moi, tu perds combien de temps en réunions inutiles ? »

Long silence. Regard vague. Bingo.

Il s’éloigne. À toute à l’heure, patron…


Le test ultime : la réunion la plus absurde (mais la plus efficaces) de ma vie

14h30. Réunion hebdomadaire. Sept personnes autour de la table.

Mon boss, toujours fatigué, attaque :

— « Premier point : le rapport mensuel. Qui l’a lu ? »

Silence. Personne.

Cédric me regarde du style -j’espère que tu a lu le mail –

Encore une fois, c’est pour ma pomme… (Évidemment.)

J’ose une remarque, innocente mais désespérée :

— « Donc… on va passer 20 minutes à analyser un document que personne n’a lu ? »

Petit malaise collectif.
Je vous tiens tous. (Rire machiavélique intérieur.)

Mon boss, gêné :

— « Euh… Bon, on va juste voir les points clés. »

(Traduction : il ne l’a pas lu non plus.)

Progrès ! Il veut écourter. Peut-être que la discussion de ce matin l’a fait réfléchir…

Puis vient le moment crucial.

— « Et pour le projet des pièces en reliquat, on fait quoi ? »

Là, j’ose une approche radicale :

— « Chacun propose une action concrète en 30 secondes. Top chrono. »

Gros blanc. Ils ne sont pas prêts.

Puis Cédric (il a toujours de bonnes idées, celui-là, je l’aime bien) :

— « Euh… On pourrait lancer un sondage client s’il ils veulent que l’on s’occupent des pièces pour retour au fournisseur ? »

L’assistante du boss enchaîne :

— « Bonne idée. On fixe une deadline ? »

En 5 minutes, on a une décision claire.

Mon boss hoche la tête, l’air songeur.

— « C’était… efficace, aujourd’hui. »

Oui « Efficace » ! je crois que ce mot l’a fait réagir

14h45. Réunion pliée.


Comment j’ai réussi à faire croire à mon boss que c’était son idée

Un jours plus tard, mon boss débarque à mon bureau, tout fier de lui. Avec un café pour moi ( tiens donc…)

« J’ai réfléchi… On va tester un nouveau format de réunions, plus courtes et plus structurées. »

Je souris intérieurement.

« Excellente idée ! »

Et voilà comment, au lieu d’être vu comme un rêveur naïf avec des techniques de développement personnel des années 90, j’étais devenu un acteur du changement sans même qu’ils ne s’en rendent compte.


La moralité de cette histoire : soyez le coach du changement, pas le gourou incompris

Les gens détestent qu’on leur dise quoi faire… mais ils adorent avoir de bonnes idées.

Alors, plutôt que de jouer les révolutionnaires du développement personnel et de passer pour l’illuminé du bureau, adoptez une approche plus subtile. Semez des graines, guidez sans imposer… et surtout, amusez-vous !

Soyons honnêtes : vous n’aurez jamais de médaille pour ça.
Votre patron ne vous enverra pas un email de gratitude.
Vos collègues ne vous applaudiront pas en open space.

Mais voir les mentalités évoluer, petit à petit ? C’est un vrai plaisir.

Si vous vous sentez en décalage entre votre vision du travail et celle de votre entreprise, voici comment jouer intelligemment votre rôle de coach :

Posez des questions plutôt que d’imposer vos solutions. Plantez des graines. Laissez l’idée germer dans leur tête.
Parlez résultats, pas « méthodes à la mode ». Votre boss s’en fiche du dernier best-seller sur la productivité. Il veut des chiffres, du concret.
Proposez des changements simples et actionnables. Pas de concepts abstraits, juste des ajustements qui apportent un vrai impact.

Et un jour, sans prévenir, votre patron arrivera avec un air satisfait et vous lâchera fièrement :

— « Tu sais quoi ? J’ai découvert un truc génial pour mieux gérer mon temps… »

À ce moment-là, vous pourrez juste hocher la tête en silence… et savourer votre victoire. 😉

Et si vous arrêtiez (vraiment) de perdre votre temps ?

On a tous vécu ces réunions absurdes, ces journées qui filent sans qu’on sache où est passé notre temps, ces « urgences » qui n’en sont pas… Et pourtant, il est possible de reprendre le contrôle.

Je ne vais pas vous vendre du rêve : les interruptions ne disparaîtront pas, et votre boss ne se transformera pas du jour au lendemain en Maitre Zen.

Mais vous pouvez changer votre manière de travailler, et petit à petit, les autres suivront.

Si vous avez envie de gagner du temps sans sacrifier votre efficacité (et sans passer pour un rebelle incompris), j’ai créé un programme spécialement pour ça :

🕒 Une méthode simple pour enfin maîtriser votre temps (même en plein chaos) 🕒

Ce que vous allez apprendre :
Les 3 lois du temps qui vous feront gagner 2 heures par jour (minimum).
Comment stopper les interruptions sans passer pour un associable.
Comment réduire de 50% vos réunions (et les rendre utiles, pour une fois).
Comment influencer votre entourage pour que tout le monde adopte un rythme plus intelligent.

Bref, une méthode qui fonctionne dans la vraie vie, pas un énième « plan parfait » impossible à appliquer.

À vous de jouer. Parce que si vous ne reprenez pas le contrôle de votre temps, quelqu’un d’autre le fera à votre place.

Vous êtes prêt à reprendre le contrôle ? Cliquez ici et je vous montre comment faire (sans renverser votre café).

J-Philippe Berten

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🐺 L’histoire des deux loups : Lequel nourrissez-vous ?

Il y a bien des années, un vieil Indien assis auprès de son petit-fils, lui raconta une histoire qui allait marquer sa vision de la vie.

« En chacun de nous, il y a deux loups qui s’affrontent. L’un est rempli de bienveillance, de sagesse et de courage. L’autre est empli de peur, de doute et de colère. »

Le petit-fils, intrigué, demanda alors :
« Lequel des deux l’emporte ? »

Le grand-père répondit calmement :
« Celui que tu nourris. »

Ce que cette histoire nous enseigne

Cette simple histoire nous montre une vérité profonde : dans notre esprit, il existe constamment un duel entre des pensées constructives et destructrices. En réalité, nous avons le pouvoir de choisir quel loup nourrir. Mais que signifie nourrir un loup ? C’est tout simplement l’idée de se concentrer sur certaines pensées et émotions au détriment des autres. Et ce que nous nourrissons finit par grandir et dominer notre quotidien.

Le loup bienveillant : cultiver des pensées positives

Le loup de la bienveillance, de la sagesse et du courage représente toutes ces pensées qui nous élèvent. Il s’agit de la confiance en soi, de la gratitude pour ce que nous avons, de l’optimisme face à l’avenir. En nourrissant ce loup, on invite la paix intérieure, on se libère de la peur et on attire des expériences positives dans notre vie.

Concrètement, nourrir ce loup, c’est :

  • Prendre soin de soi : consacrer du temps pour se détendre, pratiquer des activités qui nous font du bien.
  • Pratiquer la gratitude : chaque jour, prendre un moment pour réfléchir à ce pour quoi nous sommes reconnaissants.
  • Être bienveillant envers soi-même : éviter les jugements négatifs et se traiter avec douceur.
  • Passer à l’action : même quand les doutes surgissent, faire un petit pas vers ce qui nous fait peur.

Le loup de la peur : se libérer des pensées limitantes

Le loup de la peur, du doute et de la colère, lui, se nourrit de nos pensées négatives. Il s’invite souvent dans nos vies sous forme de critiques, d’inquiétudes, de regrets du passé ou de peur de l’échec. Le laisser grandir, c’est inviter les tensions, le stress et la frustration dans notre quotidien.

Pour éviter de nourrir ce loup, il est essentiel de :

  • Changer de perspective : plutôt que de voir les obstacles comme des échecs, les considérer comme des occasions d’apprendre.
  • Affronter ses peurs : au lieu de se laisser paralyser par elles, agir malgré elles.
  • Se détacher des pensées négatives : apprendre à observer nos pensées sans se laisser emporter par elles.

Comment appliquer ce principe dans votre vie quotidienne ?

Maintenant que vous avez pris conscience de ces deux forces qui s’affrontent en vous, il est important de choisir chaque jour lequel nourrir. Voici quelques conseils pour appliquer cette sagesse :

  1. Soyez conscient de vos pensées : prenez le temps d’observer vos pensées et identifiez celles qui sont négatives. Demandez-vous : « Est-ce que cette pensée me sert ? » Si la réponse est non, laissez-la passer.
  2. Pratiquez la pleine conscience : la méditation, la respiration consciente ou tout simplement passer quelques minutes à vous recentrer vous aidera à nourrir le loup positif.
  3. Entourez-vous de positivité : les personnes avec qui vous passez du temps influencent votre état d’esprit. Entourez-vous de ceux qui vous inspirent, vous soutiennent et vous poussent à être meilleur.
  4. Faites des choix alignés avec vos valeurs : chaque action que vous entreprenez façonne la personne que vous devenez. Choisissez des actions qui nourrissent votre bien-être et votre croissance personnelle.
  5. Célébrez chaque petite victoire : nourrir le loup positif, c’est aussi reconnaître et célébrer vos petites réussites quotidiennes, même les plus simples.

Chaque jour, nous faisons face à une multitude de pensées. Certaines vont nous pousser vers l’avant, d’autres nous tirer vers l’arrière. C’est à nous de choisir. Lequel des deux loups voulez-vous nourrir ? Celui qui vous aide à avancer, à croire en vous et à grandir, ou celui qui vous retient dans la peur, les doutes et les regrets ?

Le grand-père de cette histoire nous rappelle que c’est notre responsabilité de nourrir le bon loup. Et chaque petit pas dans cette direction est une victoire sur nous-mêmes.

Alors, demain, quel loup allez-vous nourrir ?

J.Philippe Berten

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Le Bonheur : Un Choix Qui Ne Dépend Que de Soi

Le plus grand acteur de son bonheur c’est Soi-Même

Le bonheur ne dépend que de soi. Nous sommes aux commandes de notre vie et de nos décisions. Trop souvent, nous nous comparons aux autres, pensant que leur richesse, leur succès, ou leur position sociale les rendent plus heureux que nous. Mais la vérité est que le bonheur ne se trouve pas dans les biens matériels, les titres ou la reconnaissance. Le bonheur est un choix, et il commence avec soi-même.

Le Bonheur est un Choix

Vous avez probablement déjà observé des personnes qui semblent avoir tout ce qu’elles désirent, mais qui sont malheureuses. Riches, puissantes, entourées, et pourtant… déprimées, seules, ou en quête de sens. Elles ont peut-être tout matériellement, mais ce qui leur manque, c’est cette paix intérieure, cette satisfaction que seul un choix conscient du bonheur peut apporter.

Pendant longtemps, je pensais que réussir, accumuler des réussites professionnelles et financières m’apporterait le bonheur. Mais après avoir traversé un burn-out et une longue période d’insomnie, j’ai réalisé que tout cela n’avait aucun sens si je ne cultivais pas d’abord mon propre bien-être intérieur. C’est là que j’ai compris : le bonheur n’est pas défini à ce que l’on possède, mais comment on choisit de vivre chaque instant.

Le Bonheur est Subjectif

Nous avons tous notre propre définition du bonheur. Pour certains, c’est une sensation de frissons en sautant à l’élastique ou en gravissant une montagne. Pour d’autres, c’est la tranquillité d’un moment passé en famille ou la satisfaction d’un travail bien fait. Ce qui vous rend heureux peut sembler insignifiant aux yeux des autres, mais c’est ce qui est important pour soi qui compte.

Personnellement, j’ai trouvé du bonheur dans les petites choses : lire un bon livre, écrire, écouter de la musique ou même partager un repas avec des amis. Mon Bonheur je le trouve généralement dans le relationnel, j’aime les gens. Tout cela me permet de me reconnecter à ce qui est vraiment important.

Le Sommeil : Pilier Fondamental du Bonheur

Un sommeil réparateur est essentiel pour préserver son bien-être. Après avoir lutté contre des années d’insomnie, j’ai réalisé à quel point le manque de repos affectait non seulement mon humeur, mais aussi ma productivité et ma capacité à savourer chaque instant. Quand le sommeil fait défaut, tout devient plus compliqué. On se sent épuisé, irritable, et il devient difficile de réfléchir clairement. En vérité, le sommeil est un pilier indispensable pour maintenir son bonheur au quotidien.

Il est donc crucial de comprendre ses besoins en matière de sommeil. Si vous souffrez d’insomnie, n’hésitez pas à demander de l’aide. Parfois, il suffit de changer d’oreiller ou de matelas, ou encore de réajuster ses habitudes en se couchant plus tôt. Le sommeil n’est pas un luxe, mais une nécessité pour affronter chaque jour avec énergie et sérénité. Souvenez-vous : une bonne nuit de sommeil, c’est la clé pour débuter la journée du bon pied et avec le sourire.

Faire de l’Exercice : Un Boost de Bonheur

Je ne suis pas un grand sportif, mais j’ai découvert à quel point l’exercice pouvait changer mon état d’esprit. Faire un peu d’exercice chaque jour, même juste une marche rapide ou du ménage, libère des endorphines, ces fameuses hormones du bonheur. Quelques minutes d’activité physique peuvent faire une grande différence pour le moral et le bien-être.

La Méditation pour Recentrer le Mentale

La méditation est souvent mal comprise, associée à des pratiques spirituelles éloignées de nos vies modernes. Pourtant, elle est l’une des techniques les plus efficaces pour cultiver le bonheur. J’étais sceptique au début, mais lorsque j’ai commencé à méditer, j’ai immédiatement ressenti les bienfaits : plus de calme, plus de clarté mentale, et un sentiment profond de paix intérieure. Des études scientifiques montrent que la méditation stimule la partie du cerveau responsable des émotions positives. Un simple exercice de respiration peut transformer votre journée.

Se Poser les Bonnes Questions

Enfin, pour trouver son propre chemin vers le bonheur, il est essentiel de se poser les bonnes questions. Voici quelques réflexions qui m’ont aidé à mieux comprendre ce qui me rend vraiment heureux :

  • Qu’est-ce qui me passionne vraiment ?
  • Si l’échec n’était pas une option, que ferais-je de ma vie ?
  • Si je devais tout recommencer, que changerais-je ?
  • Si l’argent n’était pas un problème, comment passerais-je mes journées ?
  • Quel est le plus grand rêve que j’ai mis de côté, par peur ou manque de temps ?

Ces questions peuvent vous sembler simples, mais elles révèlent souvent des vérités profondes sur ce qui compte vraiment. En répondant à ces questions, j’ai pu redéfinir mes priorités et orienter ma vie vers des choix plus alignés avec mes valeurs.

Le bonheur est un voyage éternel. Nous avons le pouvoir de choisir comment nous vivons chaque moment et le transmettre. Il ne s’agit pas de suivre le modèle de quelqu’un d’autre, mais de trouver ce qui apporte véritablement de la joie dans la vie. Nous méritons tous d’être heureux, alors pourquoi ne pas commencer dès maintenant à construire cette vie qui vous ressemble ?

J-Philippe Berten

À William qui m’a demandé de ce que je pensais du « bonheur ».

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